Texte de Ktou14 – « Une bonne question » *
« Dis papa, c’est quoi le bonheur ? » La petite phrase roule dans la tête de Sacha, au rythme du train qui avance dans cette nuit chargée d’interrogations. Inconfortablement installé dans un wagon
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
« Dis papa, c’est quoi le bonheur ? » La petite phrase roule dans la tête de Sacha, au rythme du train qui avance dans cette nuit chargée d’interrogations. Inconfortablement installé dans un wagon
Sophie tressaille. D’un bond, la voilà assise, tremblante, dans son lit. Dans sa tête, ça tourne un peu, elle a peine à raccrocher à la réalité. Elle tend l’oreille, écoute,
> Lire la suiteTexte de Melle47 – « Malheur… Bonheur… et cetera… » *
Enfant, Émeline rêvait d’être architecte. Quand nous avions dix ans, elle dessinait des plans dans des cahiers de brouillon. Puis, à l’époque où nous nous intéressions plus aux garçons qu’aux
> Lire la suiteTexte de Maimoun – « La fabrique à sourires » *
« Rentrez vos poules, je lâche mes coqs ! » Quand la Germaine sortait de chez elle accompagnée de ses trois grands gaillards, elle n’était pas peu fière de lancer cette phrase à
Nino, les pieds bien campés dans le sable et les mains enfoncées dans les poches de sa vareuse, regardait au loin le Soleil se couler dans la mer calme. Il
> Lire la suiteTexte de Melle47 – « D’un horizon à l’autre… » *
Sophie, assise sur le petit tabouret de l’entrée, essaye tant bien que mal de nouer les lacets de ses chaussures de marche. « Mais… Tu vas arrêter ? Ouiiii… Je sais,
Lorsque Saint-Pierre entra sans frapper dans Son bureau, il était au bord de l’implosion. Ses cheveux blancs hirsutes, les lunettes posées de guingois sur son nez qu’il avait proéminent, ses
Clémentine ferme les yeux, gonfle ses joues, soupire bruyamment. Elle laisse glisser son dos contre la paroi jusqu’à poser doucement ses fesses au sol. Elle ramène ses jambes contre elle,
Il y a une éternité que je n’ai pas remis les pieds ici, et pourtant ce n’est pas encore assez. Je suis devant Ta maison. Le portail est là, à quelques
Marius coupe le contact, fait le tour de la voiture, ouvre la portière et tend la main. » Allons-y Zoé, plus vite c’est fait… » Il se mort la langue…
J’ouvre les yeux difficilement. Je frissonne, l’air ambiant s’est rafraîchi depuis quelques jours. De là où je suis, j’aperçois un bout du ciel, parsemé de nuages du gris clair au
Assise dans le vieux rocking chair en rotin, un coussin mœlleux sous la nuque, je les attends. Ils m’ont appelée la semaine dernière pour me prévenir de leur visite. Lundi