Aux participant(es) de l’atelier « bleu ».
Vous n’êtes pas des bleu(es), on ne vous la fait pas, aussi je vais jouer franc jeu. Voici ce que j’ai écrit à Emije, mardi soir, quand sont tombés les premiers textes : « (…) Je me suis dit après coup : tu y es allé trop fort ; cette proposition d’écriture est difficile (je m’en expliquerai en détail) et peut-être as-tu décontenancé les participant(e)s. Et puis finalement, à lire et relire les textes qui tombent (et donc à m’affranchir de ce à quoi je m’attendais, qui était différent) je découvre une autre approche du thème, à chaque fois plus personnelle. Des fragments de vie, des confessions en filigrane, des tableaux, des images. Et du coup, c’est réussi. Vous verrez. »
Mais j’étais toutefois quelque peu décontenancé. Et d’autres textes allaient arriver, différents.