Texte de Melle47 – « Au beau fixe… »
Mes yeux se sont fermés. Je m’imprègne de cet instant fugace de bonheur fragile. Un frisson de bonheur intense m’étreint. Je suis seule, calme et tranquille, posée tout là-haut sur
Atelier d'écriture de fictions par Francis Mizio
Mes yeux se sont fermés. Je m’imprègne de cet instant fugace de bonheur fragile. Un frisson de bonheur intense m’étreint. Je suis seule, calme et tranquille, posée tout là-haut sur
En fait c’est une histoire qui s’est passée il y a une quinzaine d’année, mon fils était en CE1 non, non, en CE2…oui bon alors, ce n’est pas quinze mais
INTÉRIEUR, JOUR, CHAMBRE D’HÔPITAL / JEUNE FEMME, CHEVEUX COURT, BRUNE / VISAGE FATIGUE, NEUTRE / YEUX HUMIDES
Extérieur jour, femme âgée, cheveux blancs, en chignon, proche des 80 ans, assise à une table de jardin.
EXTÉRIEUR / VIEUX BÂTIMENT EN PIERRE DANS JARDIN CLOS / FEMME AGÉE ASSISE SUR UN BANC / AIR DÉSABUSÉ
« J’ai bien pensé à prendre mes cachets anti-stress… » Elle jette un œil dans son sac et continue de penser à voix haute. « J’ai mon traitement dans la
Chaque jour en fin de matinée Jean venait marcher dans le parc Montsouris. Il en aimait particulièrement le bord du lac, qu’il avait pu admirer en toutes saisons, où cols-verts
Samedi 21 juin – L’Écho des platanes « Beulotte Le village qui dépote » Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas régné une telle effervescence dans le charmant village de Beulotte, aux
> Lire la suiteTexte de Zazie6454 – « L’Écho des platanes » *
J’enseignais la biologie à l’université de Toulouse-Rangueil depuis vingt-cinq ans lorsqu’une de mes élèves vint perturber la vie agréable, tranquille et rangée que j’avais menée jusque-là.
TaTacTaToum, TaTacTaToum, TaTacTaToum, le train roulait depuis une demi-heure. J’avais piqué du nez à plusieurs reprises, m’étais réveillée en sursaut, jetant à chaque fois un coup d’œil sur le côté
La proposition d’écriture de ce mois m’a été inspirée par un spam — un pourriel — reçu ce lundi 28 septembre à 14h41, pour être précis. C’est « Rosine », qui m’écrit.
Lorsqu’il traversa la grand’ rue de Cousances, Frère Berzinghin eut l’impression de passer dans un village abandonné… Personne à l’horizon, les maisons, la ferme semblaient elle aussi délaissées, inertes. Une
> Lire la suiteTexte de Zazie6454 – « À la Saint-Berzinghin » *